L’histoire de ce pauvre vieux Roberto, traqué jusque chez lui par un Ray avide d’explications… Une histoire d’amour plutôt classique, en somme. Enjoy.
S’il en est un qui sait ce que « faire l’élastique sur la bascule » veut dire, c’est bien Diego. C’est pourquoi – emmailloté dans mon bleu et blanc -, j’ai décidé de lui dédier ma première session de torture.
Une pensée également pour l’ami Roberto Duran. Entre ses combats, « Manos de Piedra » ramollissait dangereusement, avant de gonfler irrémédiablement depuis qu’il a raccroché les gants. (suite…)
Dans son autobiographie, plutôt réussie d’ailleurs, Mike Tyson chante les louanges de Roberto Duran.
Des tas de gens croient qu’Ali est mon boxeur préféré. En réalité, c’est Roberto Duran. J’ai toujours vu en Ali un beau mec qui s’exprime bien. Alors que moi, je suis petit, laid, et j’ai un défaut d’élocution. Quand je vois Duran se battre, je vois un gars de la rue. Il dit à ses adversaires des trucs comme :
Dégage, enculé. La prochaine fois je t’envoie direct à la morgue. (suite…)
Après « The Kärcher » Sarkozy et François « Flamby » Hollande, Ali, Frazier, Tyson, Hagler, Leonard, Duran, Pacquiao et l’inévitable Rocky Balboa posent pour Cultureboxe.
Une affiche qui raconte des gants, des plumes, des exploits, des chutes, des gueules cassées et des champions du monde. Sans oublier les pigeons, les punchlines, les borgnes, les lourds, les fous, les hyperactifs, les punchers, les poètes, les sacs de frappe, les salles crasseuses, les rings pisseux, les smokings blancs, les K-O, les embrouilles, la blanche, le swag et l’œil du tigre. (suite…)